réussir sa licence de droit.
La fiche que vous voyez sur cette image pourrait bien faire de vous un brillant juriste.
Mais pour l’heure, parlons un peu de vous.
Vous voilà en licence de droit, déterminé à décrocher un beau diplôme et à obtenir un emploi utile et intéressant.
Laissez-moi vous dire quelque chose : vous avez du courage et de quoi réussir, car vous au moins vous savez ce qui compte pour vous.
Le problème, c’est que vous sentez déjà la difficulté qui vous prend en otage.
Pourquoi? Parce que les qualités exigées pour réussir en licence de droit sont aussi pointilleuses que le recrutement d’un commando marine.
Vous êtes au beau milieu d’un parcours du combattant, tiraillé par la nécessité de bien écrire, d’avoir l’esprit de synthèse, de mémoriser efficacement, de comprendre vos cours d’être organisé et autonome, d’affronter la masse de travail, de connaître la méthodologie sur le bout des doigts, de vous spécialiser en Master.
On vous en demande trop.
Et ça commence à vous taper sur les nerfs.
Vous avez l’impression qu’un chemin de croix se dessine à mesure que le temps passe.
Quand j’ai débarqué en licence de droit, j’ai ressenti la même impression, ce sentiment d’impuissance devant la charge de travail.
Mais un jour, au beau milieu de la pandémie, dans une atmosphère teintée de gris, j’ai découvert des techniques d’apprentissage qui m’ont donné un sérieux coup de pouce. Elles m’ont permis d’assimiler avant les partiels de longs (très longs) cours abstraits.
Parmi ces techniques, j’ai découvert quelque chose d’une grande importance, un truc qui constitue le soubassement de toute réussite.
C’est la première étape pour réussir sa licence de droit.
Étape n°1 : sachez pourquoi vous faites des études de droit
Sans une bonne raison d’agir, on n’agit pas. Au mieux, on effectue le boulot par dépit, mais un boulot de qualité Made in China.
En licence de droit, c’est la même chose. Si vous ne savez pas pourquoi vous étudiez le droit, vous n’aurez pas de bonnes raisons d’agir.
Ce serait catastrophique. Imaginez.
Cela fait des semaines que vous sentez la motivation s’amenuir, telle une romance qui s’essouffle devant les difficultés de la vie. Vous aimeriez étudier autre chose, changer de cursus voire changer de vie ! Et pourtant, vous savez que retourner en arrière est impossible.
Vous vous rappelez des choix que vous avez faits avant l’entrée en licence, de cette discussion avec la conseillère d’orientation qui vous a convaincu de faire du droit, ou des rêves idéalisés qui vous ont poussé dans cette voie.
Vous aimeriez tant retourner en arrière et gommer vos erreurs passées.
Mais non, vous voilà prisonnier de votre destin, enchaîné par vos choix antérieurs, suffoquant sous le regret et la charge de travail. Vous voilà condamné à subir de longs mois d’études pour faire plaisir à vos parents et pour ne pas vous retrouver sans diplôme et sans emploi.

Cette catastrophe, vous pouvez l’éviter… si vous avez trouvé votre pourquoi.
La bonne nouvelle, c’est qu’il existe trois moyens pour le trouver.
- Le moyen le plus évident est de penser au métier qui vous plairait et auquel vous pouvez accéder via les études de droit. A ce sujet, l’éventail est large puisque vous pourriez devenir autant commissaire-priseur que chef d’établissement pénitentiaire ou encore huissier de justice !
- Un autre moyen (plus prosaïque, je l’avoue,) est de penser à la rémunération que vous pourriez obtenir avec cet emploi. Le site Onisep pourrait vous donner des pistes à ce sujet.
- Vous pouvez également repérer ce qu’il y a d’utile et d’intéressant dans les cours de droit, en faisant par exemple des analogies avec des situations quotidiennes (cela vous aidera d’ailleurs à mieux mémoriser vos cours !).
Si vous savez pourquoi vous faites des études de droit, je peux vous garantir que vous réussirez car les obstacles qui surgiront ne vous décourageront pas.
Vous vous êtes tapé un 7/20 en commentaire d’arrêt ? Ce n’est pas grave, car vous serez assez motivé pour retravailler la méthodologie.
On vous dit que vous n’avez pas les épaules pour faire du droit ? N’importe, car les autres n’ont pas à déterminer vos choix.
Oui, tout cela ne vous découragera pas car, quand on a un objectif important en tête, l’atteindre constitue un peu une question de vie ou de mort.
Vous n’allez pas laisser une pauvre note vous ruiner vos études de droit quand même ?
En sachant bien pourquoi vous êtes en licence de droit, les broutilles et merdouilles ne seront que des poussières sur votre marche.
Tadam ! La base de votre réussite est maintenant en place.
Mais il y a encore du chemin à faire. C’est le moment de rentrer dans le concret, de passer aux choses sérieuses.
Étape n°2 : repérez l’essentiel de vos cours
Vous souvenez-vous de l’image au début de cet article?
C’était une fiche… de révision!
Mais avant d’en parler, je dois dire quelques mots sur l’importance de la synthétisation.
La synthétisation d’un cours consiste à le résumer pour alléger la charge de travail.
Oui, c’est chiant. Mais c’est très utile, surtout en fac de droit où le travail à fournir est aussi chronophage que de regarder des séries sur M6.
Sans un résumé, vous vous condamneriez à réviser de gros pavés informes, noircis de concepts juridiques et de chiffres tout droit issus du Code civil. Vous vous livreriez pieds et poings liés à des liasses de feuilles A4 vous donnant la nausée.

En revanche, un résumé vous guiderez comme un GPS vers l’autoroute du succès. Avec lui, vous réviserez les informations susceptibles d’être utiles à l’examen, vous ne perdrez plus votre temps à chercher quelque chose à vous mettre sous la dent.
MAIS la synthétisation n’a d’intérêt que si on la fait bien. Et elle est là, la difficulté.
La difficulté, c’est de trouver les informations essentielles et de les mettre en forme de manière à les retenir rapidement.
Pas de panique. Voici comment faire.
- Tout d’abord, les cours les plus coefficientés et/ou que vous n’avez pas encore révisés sont à résumer en priorité. C’est logique. Il s’agit de se focaliser sur ce qui va vous rapporter le plus de points aux partiels et d’éviter la copie blanche.
Les cours ayant le plus gros coefficient sont ce qu’on appelle les “matières fondamentales”, qui sont celles pour lesquelles vous avez des séances de travaux dirigés (TD). Ce sont ce genre de matières :

(source : Guide des études – Licence 2020-2021 – ULCO)
Ce sont ces matières qui sont les plus délicates car elles sont sanctionnées d’une dissertation, qui requiert non seulement beaucoup de connaissances mais aussi une bonne maîtrise de la méthodologie !
- Une fois que vous avez déterminé les cours à réviser en priorité, il va falloir les résumer sur desfiches (vous allez sûrement aimer cette étape). Mais si vous voulez qu’elles soient efficaces, elles doivent respecter ces 5 critères :
- elles doivent avoir un minimum de couleurs ;
- elles doivent être aérée ;
- elles doivent être compréhensible ;
- elles doivent résumer l’essentiel ;
- et elles doivent faire apparaître le plan ;
Comme une image vaut mille mots, regardez cette fiche de droit administratif que j’ai élaborée pour vous :

Vous voyez, il y a de la couleur. Tout est propre. Ça donne envie de lire. Bref, ce genre de fiche est une fusée qui va propulser vos notes vers l’autre bout de la galaxie.
Astuce : vous pouvez créer des fiches aussi bien pour vos cours que pour la méthodologie (cas pratique, dissertation juridique, etc.), les deux étant à bien connaître.
ATTENTION : je vous conseille de ficher vos cours régulièrement car, mine de rien, recouper les informations pour en faire un bon résumé prend du temps. L’erreur à ne pas faire serait de ficher ses cours 1 semaine avant les partiels en pensant qu’on va apprendre comme ça.
En fait, le travail régulier est la clef du succès.
Peut-être que le bachotage fonctionne. Peut-être que réviser à l’arrache 300 pages de cours une semaine avant les examens pourrait vous sauver.
Mais, entre nous, on est d’accord pour dire que cette stratégie est ultra-risquée.
Redouble son année après tant d’efforts, ça ne vaut pas le coup.
Je le réaffirme : la régularité est la clef du succès.
C’est justement le troisième point de cet article : les routines.
Étape n°3 : mettez en places des routines de travail
Je sais, je sais. Il est difficile pour nous, étudiants en droit, de tenir une routine sur la durée.
Après une journée de cours intenses, on n’a pas trop envie de se remettre à travailler. On a juste envie de se poser dans un lit ou un canapé, de profiter du temps libre et de se distraire.
Je ne veux pas porter de jugements de valeur. C’est naturel après tout, je vous comprends.
On se dit que les 6 heures de cours passées en amphithéâtre sont censées suffire, qu’on a déjà fait le boulot qu’on nous a demandé de faire. C’est assez, non?
Et pourtant.
La cruelle vérité vous rappelle à chaque fois que tout ce travail n’est pas suffisant.
Vous voyez toujours ce couperet qui coupe court à votre repos vespéral, vous traînant de force vers ce pavé de cours qui gît dans le disque dur de votre ordinateur.
Le pire? Si vous ne faites rien, le travail s’accumulera au point de vous faire culpabiliser. Vous vous direz que vous n’êtes pas assez bon.
Vous aurez juste envie de lâcher l’affaire et de remplir un seau de larmes.
Alors comment faire?
Malheureusement, je ne peux pas vous offrir une solution miracle. Désolé.
Mais je pense que cette petite routine de travail vous sera bénéfique :
- comme nous l’avons dit au début, la base de la base est d’avoir une raison forte de faire des études de droit. Ce n’est pas évident d’en trouver une quand on n’a peu de recul sur la vie. Mais ayez au moins une idée assez générale de ce que vous voulez faire par la suite. Ça vous aidera à faire le premier pas ;
- le premier pas consiste non pas à se mettre au travail, mais à déterminer la récompense que vous pourrez vous accorder une fois le travail fait. Cela a deux avantages : vous vous motivez à travailler, et vous habituez votre cerveau à ne recevoir un plaisir qu’après un effort ;
- maintenant, il ne reste plus qu’à travailler… mais pas n’importe comment ! Le pire serait de travailler pendant des heures d’affilée, sans pauses, un peu comme en amphithéâtre. Ce n’est pas un rythme de travail idéal. Mon conseil est donc le suivant : respectez-vous en prenant des pauses régulières, de 25 ou 45 minutes maximum. C’est en cohérence avec votre durée maximale de concentration.
Est-ce à dire que vous devez travailler TOUS les jours, pendant des mois, et finir comme un zombie?
Non.
Pour tenir sur la durée, il y a une technique contre-intuitive : cassez la routine en prenant un repos dominical.
C’est ce que Jean-Yves explique dans cette vidéo : https://youtu.be/bDHEOkeeu8o
Les pauses permettent de se régénérer, de soigner les blessures issues du travail et de repartir de plus belle.
Les pauses permettent donc de tenir sur la durée. Elles vont vous aider à finir ce marathon que sont les études de droit (sans finir par en être dégoûté) !
Ah, j’ai oublié de vous parler de quelque chose.
Dans le point n°3 de la routine de travail, je ne vous ai pas dit ce qu’il fallait faire concrètement.
Des fiches bien sûr, mais il y a encore un autre élément. Un élément bien plus important.
Si vous voulez rendre votre méthode de travail aussi puissante qu’une bombe atomique (et réussir vos études de droit), il va falloir apprendre à mémoriser.
C’est la quatrième et dernière étape de notre merveilleuse aventure.
Réussir sa licence de Droit, Étape n°4 : exploitez le potentiel de votre mémoire
Voici comment j’ai découvert ce conseil pour réussir sa licence de droit.
- Un jour, je fus pris de vertige. Je me suis rendu compte que tout ce que je faisais était inefficace. C’était au début de mon entrée en licence de droit, un jour de novembre 2020, et je venais d’achever deux années de classe prépa.
- J’avais quasiment tout oublié. Tout ce que j’ai appris durant ma seconde année de prépa s’est évaporé, comme de l’eau fumante. Ma mémoire était aussi vide qu’un magasin soviétique. Et je ne voulais plus subir ça pour mon année de droit.
- La réalité est apparue dans toute sa méchanceté. J’ai compris que les méthodes d’apprentissage traditionnelles étaient rouillées et qu’elles ne m’aidaient pas à affronter la masse de travail. Il fallait que je trouve une solution, sinon ça allait mal finir pour moi.
- Par chance, j’ai découvert la solution, en me baladant comme à mon habitude sur YouTube. Cette solution, c’étaient des techniques de mémorisation ! Elles me parurent futiles au premier abord. Après tout, si elles ne sont pas enseignées à l’école, c’est peut-être pour une bonne raison. Mais en fait, elles permettent de mémoriser ce qui semble impossible à tous, comme des suites de chiffres, des mots abstraits, ou encore des idées complexes.
Bingo ! Voilà la révélation du siècle.
Le secret pour réussir sa licence de droit, c’est de convertir tout ce paquet d’informations en images mentales, en des choses si visuelles qu’elles se scotcheront à votre mémoire.

Bon, ce n’est plus vraiment un secret puisque je vous l’ai révélé. Mais au moins vous aurez sous le coude une technique redoutable pour mémoriser vos cours de droit.
Car oui, la mémorisation, c’est une conditionsine qua non pour réussir. Point barre.
Sans une bonne mémorisation, il est très difficile de retenir des informations purement factuelles et pourtant importantes comme le nom des arrêts, le numéro des articles du Code civil, des citations ou encore des concepts juridiques (ex: la théorie de l’infans conceptus).
Le reste des informations est à mémoriser par la compréhension (d’où l’intérêt de faire de bonnes fiches !)
Pour que vous voyez comment mémoriser efficacement et rapidement un cours de droit, je vais reprendre la fiche de révision que nous avons vue précédemment.
Les informations que je mémoriserais ici sont celles que j’ai surlignées en jaune, à savoir : la jurisprudence (Syndicat général des fabricants de semoule de France et Nicolo) et les chiffres (article 55, lois des 16 et 24 août 1790).
Voici comment je ferais :
Syndicat général des semoules de France : des syndicalistes s’agglutinent (général) et se jettent dans un gros tas de semoule duquel surgit un grand drapeau français.
Nicolo : j’imaginerais tout simplement Nikos Aliagas.
article 55 : une feuille de journal (article) est en train d’être mangée par un môme de cinq ans (50), qui a alors une quinte de toux (5)
lois des 16 et 24 août 1790 : une oie (loi) mange un gros cèpe (16), duquel surgit quatre bouteilles de vin les unes à la suite des autres (24). Ces bouteilles se brisent en faisant apparaître une huître géante (8 = août). Celle-ci s’ouvre et dévoile le dieu Seth sur un disque (17). Ce dieu boit quatre bouteilles de vin et mange un disque (90).
Vous voyez, ce n’est pas très compliqué. Il faut juste être créatif et ne pas avoir peur d’imaginer des choses bizarres.
Essayez de bien visualiser les scènes que je viens de vous décrire, et vous verrez que vous les retiendrez pendant longtemps.
Vous pouvez d’ailleurs me tenir au courant de vos résultats dans l’espace commentaire. 🙂
Au moment de réviser pour les partiels, vous n’aurez qu’à repenser à vos images mentales, et le tour est joué !
C’est là que réside la puissance des outils mnémotechniques. Ils vous rendent plus efficaces, sans faire de vous un étudiant pathétique qui relit sans arrêt ses cours… sans en retenir grand-chose.
Ceci dit, il y a une erreur à ne pas commettre, et qui pourrait bien vous être fatale.
Cette erreur ? C’est de chercher à TOUT mémoriser avec des images mentales.
Je ne dis pas que c’est impossible et que c’est inutile.
Mais ce serait clairement une stratégie ruineuse car, mine de rien, convertir des mots abstraits en image mentale prend du temps.
Or, en fac de droit, vous n’avez pas beaucoup de temps. L’efficacité est de mise.
Mémorisez plutôt ce que vous ne pouvez pas comprendre, comme des chiffres ou des concepts. C’est mon meilleur conseil.
Pour résumer :
- les techniques de mémorisation vous feront gagner un temps fou si elles sont appliquées à bon escient, sur des informations pointues et purement factuelles ;
- pour les mettre en pratique, il faudra un peu de courage et de temps (comme pour tout d’ailleurs) ;
- élaborer une stratégie de révision vous rendra plus productif et plus heureux (car vous verrez des résultats bénéfiques).
J’aimerais justement conclure là-dessus.
Je ne peux pas vous promettre la réussite car il y a une tonne de paramètres à prendre en compte.
Mais je peux vous garantir une chose : une bonne méthode de travail augmentera vos chances de réussite. J’en suis certain.
Conclusion : pour réussir sa licence de droit, la méthode est la clef de la réussite
Vous avez parcouru tout ce chemin pour arriver jusqu’ici.
Il a été long, mais vous êtes sur la voie la plus sûre pour surmonter la masse de travail.
Tout cela veut dire une chose : vous êtes déterminé à (re)prendre vos études en main.
C’est un noble projet que vous avez là, et je suis persuadé que vous allez réussir.
Pourquoi ? Parce que vous, vous connaissez la marche à suivre.
Contrairement à la plupart des étudiants en droit qui travaillent sans méthode bien définie, vous savez maintenant que pour réussir sa licence de droit, cela passe par 4 choses :
- le fait d’avoir une raison profonde qui vous motive à faire du droit ;
- la création de fiches de révision optimisées pour la mémorisation ;
- des habitudes de travail durables ;
- l’utilisation de techniques de mémorisation.
Voilà, je vous ai donné en 4 lignes une feuille de route, prête à l’emploi pour réussir sa licence de droit. Vous savez tout, désormais. Ne me remerciez pas.
Bien sûr, il va vous falloir du courage pour passer à l’action. J’ai conscience que c’est difficile.
Accumuler de l’information est toujours plus facile que de la mettre en pratique, pas vrai ?
Pour vous aider, voici ce que je vous conseille de faire : commencez par le plus simple. Prenez un chapitre d’un de vos cours, et résumez-en l’essentiel.
Vous allez créer une fiche si bonne, si claire, si compréhensible que vous imprimerez la connaissance dans votre mémoire.
Vous verrez alors les résultats tombés du ciel, telles des pièces d’or vous sauvant de la ruine.
Vous serez motivé à avancer, encore, si bien que les études de droit ne seront plus un fardeau.
Vous arriverez devant votre table d’examen, avec la conviction que vous réussirez.
Le diplôme sera là, à portée de main.
Cet article a été écrit par Léo Famchon du blog réviserledroit.com, le site qui va vous aider à réussir vos examens de droit. Vous pourrez même y télécharger le guide gratuit “Comment retenir un cours de droit, même s’il y a une montagne de boulot”, qui va vous aider à réviser plus efficacement vos cours.
Mot clé : réussir sa licence de droit.
Merci pour cet article très complet ! Les images mentales peuvent être plutôt drôles mais bien efficaces pour retenir comme il faut en effet
Merci pour cet article. J’ai bien aimé la façon de mémoriser les chiffres sans utiliser la table de rappel qui peut être assez longue à mettre en place.